Tournoi mondial de Kiri (postez ici pour l'Event Tournoi Mondial)

[Ce message est posté par ITAI qui a été confronté à un petit problème de lieu. Mais bon c'est pas grave, le contenu est sain et sauf : ]

Itai, pendant ce temps, mangeais. Comme d'habitude , il ne mangeais pas de la nourriture. Il mangeais son manteau, car il n'avait rien d'autre a faire . Sur son manteau, une plaque de beurre pourri coulait. D'une de ses poches il sortit un bout de papier et un couteau. Avec le couteau, il prit une bonne part de beure et l'étala sur le papier en le roulant. Il sortit ensuite un briquet et il se mit a fumer de beurre.

-Oh... Je donnerai tout pour un plat de spaghetti !

Puis il s'assis, réfléchit, et commenca a manger le bois de la piece. Bien sur, il eut encore faim.

-"Scrounch" Je devrais essayer le métal de cette table.

Il ne savait pas que ce n'était pas du métal. C'était en fait du cuivre. Mais trop tard, Itai avait déjà englouti toute la table, sans réfléchir.
Il voulut aller aux oilette pour vomir, mais toute les salles étaient gardées. Il vomissa donc du cuivre liquide par terre.

Surpris par l'éclair de roche se dirigeant vers lui a une folle vitesse, Kyuuri eu juste le temps de sommer le nom de sa technique:
-Youton, Ganshou no Kabe !!
Un mur de roche immergea de la lave, il fut immédiatement recouvert de magma dense, sur lequel vint s'écraser le jutsu Doton du prisonnier de Kiri.
Kyuuri bondit sur le mur et lança à la Mizukage et aux arbitres:
- Dites-moi, si le million est gagné par pure facilitée, ce n'est pas du jeu. Moi je suis venu là pour me battre vraiment !!!
Sa tête se dirigeât vers le prisonnier, abasourdit par l'échec de sa technique. Il lança un vaque soupir de pitié puis lança sa technique qui peut-être allait être fatale au vulgaire prisonnier...
-Youton, Doki no Genkotsu Atsui !!!
Il se déplaçais à une telle vitesse que les juunins présents n'eurent pas remarqué qu'il avait bouger. Pourtant, il se dessinait derrière lui une traînée de lumière carmin, la lave qui s'échappait de son corps allait percuter avec violence celui du prisonnier qui n'avait rien vu de la technique de vitesse de Kyuuri...

Le prisonnier se toruva douché devant la réaction de son adversaire. La bave coula encore plus à flots mais il secoua sa grosse tête, inondant les alentours de bave. L'autre fonçait sur lui...

Les jounins présents ainsi que les juges le regardèrent avec admiration. On ne le voyait presque plus bouger. Bien sûr, les yeux entrainés des ninjas leur permettaient de percevoir tout de même une forme noire et incandescente.

Le prisonnier fit quelques signes, mais trop tard. Il se prit les poings chauffés à blanc de Kyuuri en pleine face et s'écroula quelques mètres plus loin, près de heurter le mur de l'arène, juste sous la loge de la Mizukage. Un nuage de poussière noire s'éleva, contenant quelques cendres.

La Mizukage tirait la gueule sous les commentaires enjoués de son jounin d'assistant.

"Mouais, va encore falloir débourser pour remettre l'arène à neuf... " bougonna-t-elle.

Le prisonnier était pourtant résistant et se releva, faisant trembler le sol de l'arène sous ses gros pieds. Un hurlement de rage à vous faire vriller les tympans surgit du fond de sa gorge.

Mizaia souriait en entendant ça. Et oui, il fallait bien faire du spectacle. L'ordre des prisonniers n'était pas pris au hasard.

Le prisonnier exécuta les signes et dans un nouveau hurlement de rage, planta ses poings dans le sol. Il resta dans cette position, immobile, pendant une minute. Rien. Puis, il se laissa tomber sur les fesses, la tête baissée. Il était totalement découragé, à court de chakra. Un peu plus et il se serait mis à chialer.


Du côté de Itai...

Le greffier était passé inaperçu, semblait-il. Il suivit le candidat sans broncher, apparemment nullement concerné par les ravages que celui ci commettait. A l'instard des jounins présents et qui pouffaient de rire dans leur coin, il s'en foutait totalement. Il réitéra sa demande pompeuse à l'instard du ninja (enfin semble-t-il, après c'est devenu un terme très générique de nos jours).

Mizaia chuchota à son commentateur de lui préciser ce qu'il se passait. Après avoir obtenue la réponse, elle haussa les épaules. Le jounin arbitre l'avait vue et leva la main.

"Les règles sont les règles, " annonça-t-il. "Vous aurez gagné quand il sera mort. Si vous en avez le courage. "
La foule consternée fut parcourue d'un murmure outré, mais personne n'osait vraiment hausser le ton, surtout que c'était une volonté de la Mizukage.

L'arbitre mit les mains dans les poches et attendit, l'oeil fixé sur les deux adversaires. Le prisonnier pleurnichait, incapable, semblait-il, de se défendre.

Quand Kyuuri eu entendu cette dernière phrase, un pli se forma sous ses bandages. Il souriait. Il plaqua le prisonnier avec son pied, d'une telle force que celui-ci ne pu faire le moindre mouvement, à part sangloter de plus belle. Kyuuri pointa sa lame dégoulinant de lave chaude vers son adversaire battu. Il chuchota au vaincu:
-Tu sais misérable, quand je me serai débarrassé de toi et que j'aurai gagné ce tournoi et donc empoché le million, je penserai à toi.
Le prisonnier parut être content et cessa de pleurer. Un regard étrange s'afficha sur son visage.
-Mais, tu m'a déçu. Pourquoi n'as-tu pas exécuté mes ordres tout-à-l'heure ? Pourquoi as-tu laissé gagner ce nain dangereux ???

Un juunin arriva en trombe dans la loge où se trouvait la Mizukage.
-Madame !!! L'arbitre que vous soupçonniez à disparu !!!

Kyuuri regarda le vaincu avec un air de satisfaction et lui dit:
-Écoute-moi imbécile. Te déguiser en prisonnier pour me tuer et te venger n'était pas très futé. Mais maintenant que je sais que c'est toi, il lui arracha un bout de tissu couleur chair grossièrement attaché par des élastiques derrière une perruque (on vit apparaître un visage dont les traits furent déformés par la peur), je dois te tuer espèce de lâche !!!
Il brandit son épée et la planta violemment dans son ventre, éclaboussant le manteau de l'Akatsuki de sang.

Un "OH ! " indigné parcouru l'assemblée. Mizaia tendit l'oreille tandis que son assistant lui racontait à un débit rapide. Une vague de colère passa sur la Mizukage qui se leva et tandis le doigt vers Kyuuri. Un index pour le moins accusateur. Elle ouvrit la bouche pour parler mais un soupir de soulagement fit frémir le public. Mizaia demanda immédiatement des explications, puis abaissa lentement son doigt. Le malheureux arbitre s'était changé en flaque. Le véritable jounin était posté derrière Mizaia, l'air impertubable.

"Candidat numéro 2 ! " clama Mizaia.

Une ribambelle de jounin encerclait l'arène ainsi que le toit. AU passage, ils cachaient même un Grey (toujours endormi ? ), ne se souciant guère de lui. Kyuuri ne pouvait s'enfuir, par quelconque moyen que ce soit.

"Vous vous êtes fait passer pour un de nos juges, avez tenté de corrompre un de nos arbitres, pour finalement avoir décidé de le tuer sans sommation. Tout cela lors d'un tournoi où la clémence était accordée aux rebus de votre espèce. Je tiens à vous dire que tout ceci est particulièrement... stupide et inutile. Je doute que vous ayez des affaires politiques à Kiri, sinon j'en serai très certainement informée."

Perspicace, elle ajouta :

"Si vous avez des comptes à régler avec un de nos candidats, attendez la seconde épreuve... Maintenant, soit vous acceptez el fait que nous ne vous ferons aucun mal et respectez les règles de ce tournoi, soit vous désobéissez et serez par conséquent disqualifié. Il va sans dire que la disqualification entrainera la fin de votre immunité..."

Mizaia sourit largement.

"Bien entendu que cela compte pour une victoire. Nos jounins vont vous escorter dans les salles d'attente. Vous aurez tous les détails pour la suite. "

A ses dires, deux ninjas apparurent de chaque côté de Kyuuri, sur son mur. Ils l'invitèrent à descendre d'un geste courtois du bras.

Mizaia s'était rassise et commanda à un autre de ses gardes d'aller chercher le mystérieux ninja de Taki.

"Entracte ! " s'écria-t-elle.

La foule s'agita, sortant leurs porte monnaie en se dirigeant vers les stands de nourriture qui venaient de s'ouvrir en haut des gradins.

Mizaia disparut derrière le rideau de la loge, descendit quelques escaliers, traversa un long couloir et pénétra dans une salle réservée aux juges lors des épreuves suivantes. L'espace était essentiellement occupé par une longue table en bois verni, surmontée d'un rectangle de marbre rose. Une dizaine de chaises occupait le peu de place qui restait, dispersées tout autour de la table. La Mizukage se laissa tomber sur l'un d'elle qui faisait face à la porte et attendit.

Le ninja qui avait reçu l'ordre fonça sur le toit de l'arène et secoua grey pour el réveiller. Quand il commença à émerger, le jounin répéta plusieurs fois : "La mizukage va vous recevoir !"

Mizaia sourit en reconnaissant la voix. Evidemment. Elle aurait dû sans douter.

"Aaah ! Cher Takage ! Assieds toi donc ! "

La Mizukage ne fit aucun geste d'invitation, c'eut été prendre le risque d'indiquer le vide, malgré ses merveilleuses capacités d'adaptation sensorielles.

"Les deux candidat, hé ? Oui. Mais c'est ainsi, ils ont le droit de participer. Cela dit, si tu veux t'en prendre à l'un d'eux une fois qu'ils seront partis, ne te gênes pas. Pour le moment, ils sont sous ma protection et je serais désolée de devoir envoyer mes hommes à la mort pour des criminels."

Un grognement de protestation se fit entendre à l'entrée. Mizaia leva la tête dans la direction du jounin qui sortit immédiatement de la salle, claquant la porte sur lui.

Ark s'était incrusté dans le public du tournoi... S'était un beau bordel. Mais bon il était là par ordre du psychologue. Il devait s'habituer à la foule pour évite de vouloir se mettre à part. Maisil était aussi là pour voir ce qui pouvait arriver au seigneur de Kusa. Pour l'instant rien d'alarmant. Sauf les deux gogols qui jouaient les winners sur des prisonniers. D'ailleur Ark n'avait pas tout compris. Il n'est pas fait pour la compet.

*... Bon comme d'hab' il faut être discret et attendre le moment propice si il a occasion...*

Grey n'avait pas une grande conversation, ce dont Mizaia ne se formalisa guère. Tout le monde avait ses travers et les Kage encore plus. En effet, c'était souvent des génies au passé douloureux, ce qui les transformait en personnes un peu déjantées. Une fois le Takage partit en fumée (littéralement), la Mizukage repartit dans sa tribune.

Dans l'arène, un nouveau combat se déroulait. D'après ses oreilles et les ondes qu'elle percevait, le prisonnier gagnait. Elle le connaissait bien. Il n'était pas fort, mais surprenant. Une vraie bête de foire. A peine se fut elle installé que ses jounins gardiens lui annoncèrent l'arrivée d'un paquet. Elle ordonna au coursier de le lui déballer. Il y avait un mot. Evidemment. Très, très drôle. Entretemps, le seigneur de Kusa était partie, sans doute une affaire urgente. Mais elle avait laissé un petit.

"Alors comme ça, tu veux participer au tournoi ? Très bien."

Un cri de souffrance résonna dans l'arène. Le candidat était mort.

"Je crois justement que la place s'est libérée. En piste."


Pendant ce temps, sous l'arène... Le second qulifié avait échappé aux jounins, qui en avaient ras le bol d'être confronté à des idiots paranoïaques et qui les avaient donc laissé déambuler. De toutes manière, la seule issue de toutes ces sales donnait sur le centre de l'arène, alors...

Quand Itai entendit frapper, on n'attendit pas que la porte s'ouvrit. Un homme tout en long surgit. Il avait al machoire carrée mais un corps très fin, ce lui donnait un air bizarre. Il n'avait pas de bandeau ninja. Mais il portait une chemise en carton et était équipé d'un crayon.

"Ah ! Vous voilà !" clama-t-il joyeusement. Sa voix était grave et forte. "Je souhaiterai avoir votre nom ou tout autre pseudonyme. C'est pour vous inscrire à l'épreuve suivante. Vous comprenez, nous faisons un peu de spectacle, ça attise la bonne humeur des spectateurs. "

Pendant ce temps,Michiko se masquait le visage derrière son éventail de soie agiter par un fou rire visiblement contagieux en vue des Jounin aux alentours. En effet, elle appréciait particulièrement mettre les autres dans l'embarras relativement à son sens de l'humour. En ce moment même le visage habituellement inexpressif de Mizaia apparaissait clairement dans son esprit orné d'une mimique affichant une consternation frustrée des plus amusante.
Entretemps Akamori descendait dans l'arène comme prévus, espérant tomber sur un spécialiste du genjutsu qui le ferait sortir d'ici en douceur. Une fois arrivé, porte close derrière lui, il constata le terrain. Une large étendue boueuse maintenant suite au combat precedent visiblement.
Il finit de nouer sa nouvelle poche ninja et bizarrement et maintenant seulement, Abe se senti nu devant tout le monde sans un bandeau. Un arrière gout de honte lui remonta dans la gorge accompagné d'une boule de stresse douloureuse. Heureusement le public n'était presque pas visible du bas des rempart, du moins on était obligé de se tordre le cou pour apercevoir les premiers rangs.
*Garde ce sentiment en tête, ça te servira contre celui en face.*
Maintenant qu'il était arrivé, autant faire ses preuves.[i]

Itai fit un léger sourire et réfléchis... Il conclut qu'il voulai continuer le tournoi.
-Ningyou, Itai Ningyou... ou vous pouvez mettre... Le clochard embulant !
-Euh... Pourquoi ce nom si étrange ?
-Ba quoi ! vous avez dit qu'on povai avoir un pseudo ! ba moi je choisi le clochard ambulant!
L'homme ne répondit pas et inscrit Itai sur sa liste. Fier, celui-ci sauta partout et s'exclama:
-Je vais recombattre, regagner, et donc remanger une table avec la bouffe!
L'homme régurgita dans un coin a cause des sauts de Itai et s'en alla, tramblotant.Bien sur ,Itai raffolait des excréments, mais aussi des déguelis..
Inutile de vous raconter ce qu'il faisa...

Un horrible type entra dans l'arène, il n'était visiblement ni a cours de moyen et encore moins membre. Pendant que celui ci se gausse d'Abe, le genin de Kusa remarqua l'effarement dans la foule. La pression montait, un peu comme les oiseaux qui se taise lors de la traque d'un prédateur, mais évidemment en plus bruyant.
*Il a un avantage majeur au corps a corps, si je le provoque, je pourrais trouver une faille...enfin je crois...*
Hebijinan plaça l'anneau de son kunai sur la branche de l'arbre le plus proche et tira a fond sur celle ci.
"Hey toi ! Oui toi là ! Oui la bête de foire ! C'est tes parents qui t'ont donné la capacité de te gratté le cul ou tu as des goûts minables ?"
Clamant cette phrase haut et fort, il relacha la branche sur l'axe du prisonnier monstrueux, le kunai fusa en tournant.
* Même si je le rate, il choisira un rapprochement, et ses membres risque de le ralentir, j'utiliserai le terrain a mon avantage...*[i]

Parti du désert de Suna depuis une semaine, Yafuu arriva enfin à Kiri. Il n'y avait jamais mis les pieds, et trouva ce village extrêmement humide. Il était là car Jin-Sô, son supérieur, lui avait ordonné de participer au tournoi de Kiri pour décrocher la victoire et la forte somme de 1.000.000 de ryos. Yafuu repensa aux paroles de son supérieur:
-Yafuu, gagne le tournoi, et tu aura 50% de la somme gagnée. Avec cet argent, tu pourra enfin construire la maison dans le désert dont tu rêve. Va, et si tu arrives loin dans ce tournoi, je viendrai te voir.
Il arriva enfin devant l'arène et poussa les grandes portes de bronze. Il arriva dans un immense couloir sombre. Il vit un homme à l'air effaré avec une chemise en carton sous le bras. L'homme leva la tête vers Yafuu et lui demanda:
-Qui êtes-vous? Vous voulez participer au tournoi? Je vais inscrire votre nom sur cette feuille pour que vous puissiez participer. Vous-êtes ...?
-Yafuu, répondit Yafuu.
Et il se dirigea vers la salle que lui indiquait l'homme. Celui-ci partit alors dans une direction qu'un panneau gravé dans le mur du couloir indiquait "LOGE DES JUGES ET DES ARBITRES"

[Ah bon ? Yafuu, tu ne t'avancerai pas un peu ? J'ai pourtant clairement spécifié que ceux qui souhaitent participer sont anonymes jusqu'à remporter l'épreuve éliminatoire. La façon d'y participer est tout simplement de pénétrer au centre de l'arène (vide d'un autre concurrent, cela va de soi). Tu es donc prié d'attendre le plus sagement possible ton tour. Un vendeur de cacahuètes va bientôt passer dans les tribunes...]

Un rire tonitruant résonna dans l'arène. Le prisonnier agita ses six bras en toisant son adversaire. Misérable adversaire.

"Ta blague était très drôle et je suis sûr que ma famille l'apprécierait... Sauf ma mère. Môman a toujours été très gentille avec moi. "

Le kunai passa à quelques centimètres de l'oreille du prisonnier, puisqu'il fit un simple pas sur le côté pour l'esquiver. Malgré cela, les applaudissements ne furent pas pour lui. Il faut croire que le public souhaitait encourager le jeune étudiant à survivre.

"Alors, c'est tout ce que tu as dans ton sac à malices ?"

Bizarrement, le prisonnier n'attaquait pas, se contentant de se moquer.